mardi 27 janvier 2015


JANVIER POUR COMMENCER L'ANNEE
(c'est mieux, il paraît...)

            Lui, c'est Michael Murcoock, et c'est lui qui a ouvert mon année de lectures. De la science-fiction pure et dure. C'est pas mon truc. Voilà, c'est dit ! Pfiou... Pas si facile que cela d'admettre une défaillance dans le système ! Pas désagréables non plus les nouvelles de Légendes de la fin des temps et je pense que les inconditionnels  du genre connaissent. Mais bon. Moi justement ce n'est pas mon genre. Aussi... Pour la critique ... On va dire que ça commence mal. J'ai juste apprécié les pointes d'humour très très ironiques et nombreuses qui parsèment les nouvelles. Enfin ... Pour moi, c'était de l'humour... J'espère que je ne blasphème pas et que je n'aurai pas tous les fans du genre, armés de sabres fluos dans le dos pour m'aplatir à cause de mon inculture ... Oh et puis, à quoi bon s'inquiéter ??? Je ne vous insulte pas les science-fictionnophiles ! Je n'y peux rien, moi !!! Pour une non-adepte, c'est tout ce que j'ai à en dire.
Bon plus sérieusement, on constate, au fil de ces nouvelles, une nostalgie de notre présent. En fait, le futur a l'air assez peu réjouissant... Et le genre humain, selon Moorcock, ne va pas aller en s'améliorant... Il a peut-être écrit ces nouvelles pour qu'on arrête de se lamenter parce qu'on est incapable de trouver un philtre d'immortalité... Ben ça marche ! je ne veux pas devenir aussi vaine !!!

                    Ce roman d'Anna Gavalda, que pourtant j'apprécie énormément, fut une déception... Cela se lit vite, le style est toujours assez vivant, mais l'histoire n'est pas enthousiasmante... Une fois de plus, sous des aspects de fraîcheur, c'est noir, c'est triste, c'est négatif... Et ça ne laisse pas un souvenir impérissable. On est loin de l'absolument formidable (oui, il vaut l'hyperbole) Ensemble c'est tout.
Quand même, vous trouverez une photo de l'auteur en dédicace sur mon site en cliquant ici :


             Régis ... Euh, pardon ! Bernard Werber, je ne connaissais que de nom, de réputation (qu'il a très bonne d'ailleurs ! ) alors j'ai voulu, sous les conseils d'un fan, essayer, avec celui-là. J'ai aussi Le miroir de Cassandre qui m'attend dans ma bibliothèque... Il a beaucoup d'érudition le monsieur, ça, c'est indéniable ! Après avoir lu Le rire du Cyclope, je sais tout, en condensé, de l'histoire et de la philosophie du rire. Mais ce sont ces chapitres intermédiaires qui m'ont le plus plu (ouh là, comme c'est pas beau ça !). La trame narrative ... Euh, comment dire ? C'est une plaisanterie, non ? Et ces personnages ? Je sais bien que, par définition, le personnage est une fiction, mais ceux-là, ils sont vraiment faux, vrai de vrai !!! Sont un peu concons aussi, non ? Bref, il aurait dû se contenter d'écrire un essai sur le rire, ç'aurait été plus sérieux quand même !

          C'était bon ça ! Je l'ai lu très vite et, de ce fait, j'avoue que je n'ai pas tout retenu, mais je me souviens avoir passé un très bon moment et surtout, la morale de ce livre peut s'accorder à tous: cessons de donner une image de nous qui corresponde à ce que les autres veulent et assumons ce que nous voulons vraiment être. Oui, je sais, c'est un peu facile comme idée, mais Delacourt en fait un bien agréable roman, plein d'humour et de satire. Il est vrai que je ne suis peut-être pas trop objective, car j'aime bien ce que fait cet écrivain en général. Là aussi, le style est vivant et l'auteur est quand même bien cynique. Alors souvent, c'est drôle et ça pince un peu. Et finalement, ça détend !

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire